Le tsunami invisible : le WIFI

Le tsunami invisible

La vague de la mobilité nous amène le tsunami du WIFI à la fois invisible, imperceptible et sournoisement dangereux.

Ce que nous appelons le Wifi, c’est aussi simple que la possibilité de se «connecter» au réseau Internet sans fil dans le simple fait d’être dans un environnement immersif propice à la réception des radiofréquences. Le réseau met à contribution des antennes relais et des satellites qui émettent des signaux créant, conséquemment, un environnement magnétique d’une ampleur inimaginable.

Les téléphones cellulaires carburent aux micro-ondes, celles-là mêmes qui servent à faire cuire vos aliments dans ce fameux four à micro-ondes logé dans votre cuisine. Continuer la lecture de « Le tsunami invisible : le WIFI »

Le milieu incident de l’apprentissage

Milieu incidentDans un apprentissage, il faut intégrer, d’une façon intellectuelle, plusieurs composantes dans un espace / temps déterminé. Nous parlons de transfert et d’organisation de l’information, mais il s’agit au final d’acquérir des connaissances et un savoir. Comment se représenter mentalement ce processus complexe d’apprentissage ? Par exemple, en utilisant la métaphore de la diffraction de la lumière blanche en couleurs.

Dans la section libre opinion de LA PRESSE du 21 février en 1992, Lucien Bonnet fait remarquer que Newton n’avait pas considéré, lors de son expérience sur la diffraction de la lumière blanche en 1665, que son rayon lumineux passait à travers un milieu sombre (une boîte noire) pour ensuite traverser un prisme afin d’être décomposé ou réfracté en différentes couleurs. Continuer la lecture de « Le milieu incident de l’apprentissage »

Les couleurs peuvent-elles servir à l’apprentissage ?

Les couleurs peuvent-elles

Si nous partons du principe que la perception visuelle découle de la réceptivité aux ondes visibles, la couleur fait donc intrinsèquement partie d’un certain classement de l’information visuelle.

Regarder un arbre, c’est enregistrer une réalité physique de surcroît ondulatoire pour la replacer dans une imagerie mentale (forêt, paysage, essence de plantes, etc.) liée à notre faculté de définir et de positionner l’arbre en question. L’image mentale que l’on se fait n’est pas un objet isolé mais une sorte de symbolisation de la réalité physique pouvant servir de port d’attache à des sentiments, des émotions et des souvenirs complexes. Continuer la lecture de « Les couleurs peuvent-elles servir à l’apprentissage ? »

Apprendre par cœur ou par ordinateur ?

Par coeur

La question d’éliminer ou non le par cœur dans l’enseignement est tendancieuse parce que, pour apprendre, il faut nécessairement se rappeler une série d’informations. L’être humain  apprend toujours en enregistrant plusieurs fois une information de façon à la comparer et à la classer, pour éventuellement la réactualiser et la transmettre à d’autres êtres humains. C’est un processus qui demande de connaître et de reconnaître, ce qui se rapproche énormément d’une pratique de «par cœur».

Apprendre est un exercice de concentration et de construction mentale où notre curiosité intellectuelle et notre motivation nous poussent à acquérir des connaissances. Cet exercice active plusieurs parties de notre cerveau et nous met en mode réceptivité. Apprendre, c’est d’abord et avant tout augmenter sa faculté de rétention de l’information à des fins personnelles. Continuer la lecture de « Apprendre par cœur ou par ordinateur ? »