L’utilisation d’images projectives pour la connaissance de soi vise à fournir un dénominateur commun visuel pour discuter ouvertement sur son développement personnel comme sur son développement professionnel à l’intérieur de son milieu de travail. L’ensemble des images proposées dans le jeu 55 icônes sont des archétypes visuels qui permettent de faire plusieurs types d’exercices que ce soit pour développer la mémoire ou stimuler l’imagination à des fins de résolution de problèmes.
Comme les archétypes visuels sont la base du langage imagé de toutes les cultures ils sont des espaces symboliques capables de créer des lieux de rencontre virtuels.
L’utilisation des images projectives abstraites en milieu de travail facilite autant la communication pour l’intégration de nouveaux employés que la stimulation de l’imagination pour améliorer et organiser le travail en équipe.
Image projective figurative
Une image figurative vise a représenter un objet ou un être animé. Même si l’image contient beaucoup de composantes elle contient, potentiellement, une symbolique. L’image figurative permet de faire des analogies avec des situations, des événements, des sentiments et même des émotions. Il est possible d’utiliser une image figurative pour stimuler l’imagination, par contre, l’image donnera une direction et même un thème spécifique à cette stimulation de par la précision et la reconnaissance de sa figuration.
Image projective abstraite
Une image abstraite vise a représenter des concepts, des principes et des conventions. L’abstraction aide à circonscrire notre développement psychique, c’est-à-dire la recherche du sens. Plusieurs sociétés utilisent des images abstraites pour représenter leurs croyances religieuses autant que le développement d’une logique mathématique mais aussi pour la signalisation et même pour la divination. L’image abstraite est construite à partir de nos archétypes visuel : les modèles primitifs d’image de toutes les cultures. L’abstraction oblige un effort d’imagination et une plus grande interprétation car la reconnaissance de l’image est à plusieurs niveaux.
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